Pourquoi privilégier le viager pour la vente d'une maison à La Gaude ?

Pourquoi privilégier le viager pour la vente d'une maison à La Gaude ?

Vous êtes l’heureux propriétaire d’une maison à La Gaude, mais vous avez peur de ne plus pouvoir l’entretenir maintenant que vous êtes à la retraite ? Pourquoi ne pas la vendre ? Il existe une technique de vente qui vous apporte de nombreux avantages : le viager.

Qu’est-ce que le viager ?

Lorsque vous faites appel au viager pour la vente de votre maison à La Gaude, vous vous donnez la chance de :

  • Percevoir un capital considérable à la signature du contrat de vente ;
  • Percevoir des rentes régulières à vie.

En effet, lors d’une vente en viager, l’acheteur (débirentier) effectue un premier paiement au moment de la signature de l’acte de vente. Il s’agit du bouquet. Son montant équivaut à 25-40 % de la valeur vénale du bien. C’est le seul gros versement que l’acheteur a à faire puisque le reste est versé par le biais de rentes viagères, mensuelles ou trimestrielles. Leur montant est plus abordable puisqu’elles sont calculées en fonction des revenus du débirentier, de l’espérance de vie estimative du vendeur et de la valeur vénale du bien. 

Quels sont les atouts du viager ?

Le vendeur (crédirentier) dispose d’un capital considérable qu’il peut investir dans d’autres biens immobiliers ou dans d’autres affaires. Il est libre de l’utiliser comme il le souhaite comme s’offrir un grand voyage, une nouvelle voiture… Il n’a plus vraiment besoin de marcher sur des œufs puisqu’en plus de sa pension de retraite et de ses autres allocations, il perçoit désormais des compléments de revenus pour mener un train de vie plus confortable.

Outre ces avantages importants, le crédirentier peut aussi opter pour un viager occupé. Cela signifie que malgré la signature de l’acte de vente, du bouquet et des rentes viagères, il peut continuer de vivre dans la maison jusqu’à son décès. Et si jamais il meurt en laissant un veuf ou une veuve, le conjoint survivant continue de percevoir les rentes jusqu’à ce qu’il meure à son tour. 
 

left right